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      [ARTICLE 6010 DU CODEX: VARIOLE]

      Variole, ou petite vérole : Le virus le plus meurtrier de l’histoire de la médecine. Elle a tué plus de 500 millions de personnes pendant les 100 dernières années de son existence, avant son éradication en 1978.

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      [ARTICLE 1530 DU CODEX: LA POURVOYEUSE DE MARDUK]

      La plus belle vierge de la cité, choisie pour divertir le dieu. Elle était intronisée parmi les Naditu, prêtresses serpents vierges. En Égypte, si elle tombait enceinte, elle accédait au titre de Divine Adoratrice d’Amon; à Babylone, elle devenait Entu, épouse de Marduk; en Grèce Putiadule ou Hiérodule, Prêtresse Vénérée. Les filles des pourvoyeuses étaient convoitées pour devenir épouses du roi ou du pharaon, ce qui donnait une légitimité divine à leur règne et leur permettait de jouer un rôle d’arbitre entre les dieux et leurs sujets.

      La Divine Adoratrice régnait sur le temple et ses activités. Dans le code de Hammurabi, qui fut imposé par Marduk, la réputation de la prêtresse sexuelle sacrée était protégée par les mêmes lois que celles qui protégeaient les femmes mariées de la diffamation. Le code leur garantissait un héritage et des revenus issus des terres entretenues par leurs frères. Après l’âge des dieux, on donna ce rôle aux sœurs du roi, de façon à ce que ce dernier puisse asseoir son pouvoir.

       

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      [ARTICLE 1511 DU CODEX: AMÉNAGEMENT DU TEMPLE]

      L’ensemble du temple était conçu pour être la maison du dieu. Seul le dieu pouvait entrer par la porte principale. Les fidèles devaient utiliser les deux portes situées de chaque côté. A l’exception des prêtresses, seuls les hommes en âge de se battre étaient admis dans le temple. On interrogeait les fidèles et on contrôlait qu’ils n’aient aucune lésion, fièvre ou autre anomalie. Quiconque ne répondait pas à ces exigences était banni du temple pendant trois semaines.

      [ARTICLE 1531 DU CODEX: LES PRÊTRESSES]

      Les prêtresses, à partir du 5e siècle avant J.-C., Après l’époque des dieux, virent leur prestige anéanti. Les prêtres les prostituèrent, monnayant leurs services, les relations sexuelles rituelles, en échange d’offrandes. Plus tard, on exigea de toutes les femmes qu’elles vendent leur virginité au temple au plus offrant. A mesure que le christianisme les accablait davantage, le mot grec pour prêtresse se transforma en puta ou putain, et les termes hiero ou hor donnèrent l’anglais whore.

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      [ARTICLE 1110 DU CODEX: IRIN]

      Irin – « iyrin » en araméen ancien, qui signifie gardes ou observateurs, en lien avec les anges bibliques. Les irin étaient envoyés sur terre pour surveiller l’humanité. Le livre d’Hénoch raconte leur chute, à laquelle il est fait référence dans la Genèse 6. Des anges s’accouplant avec des humaines, vivant brièvement parmi nous dans l’opulence, en souverains. Ils enseignèrent aux humains l’art et les techniques avant leur arrestation et leur chute, au retour des dieux

      [ARTICLE 1111 DU CODEX: LE BATON D’ELOHIM]

      Exode 17, « Moïse dit “… Allez vous battre contre les Amalécites. Je me tiendrai au sommet de la colline, le bâton de Dieu à la main” … Quand Moïse dressait le bâton, les Israélites avaient le dessus. Mais à chaque fois, qu’il baissait le bras, les Amalécites reprenaient l’avantage. Mais les mains de Moïse étaient lourdes… et Aaron et Hur lui soutenaient les bras, chacun d’un côté, aussi ses mains purent-elles rester fermes jusqu’au coucher du soleil. » Il s’agissait d’une arme dont les dieux avaient gratifié les Irin et leurs chefs humains les plus fiables.

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      [ARTICLE 1510 DU CODEX: CULTE AU TEMPLE]

      Dimanche, en anglais Sun day, jour du culte du dieu du soleil, le Moloch. Dans la Méditerranée occidentale jusqu’au Proche-Orient, on commençait dès le vendredi les préparatifs pour le jour du temple en se rasant, se coupant les cheveux et en lavant ses vêtements. Le samedi, Sabbatu, on ne travaillait pas ; on servait deux fois de la viande, et le sexe ou la masturbation étaient interdits. Derrière les portes principales, il y avait un espace où enlever ses vêtements et chaussures. En haut des marches se trouvait l’espace où se laver.

      [ARTICLE 1540 DU CODEX: HYGIÈNE DU TEMPLE]

      Se laver était essentiel dans la loi du temple. Les fidèles s’asseyaient sur de petits tabourets et se lavaient soigneusement le corps entièrement par trois fois, à l’aide d’huiles antiseptiques. Ils pouvaient dès lors entrer dans la grande salle. Dans la cour intérieure, ils passaient devant trois grands autels en cuivre qui servaient à faire cuire la viande. A la fin du culte, ils étaient autorisés à prélever du sang et du lait inutilisés dans un grand chaudron. Ils mettaient le mélange dans une calebasse pour l’amener dans leur jardin et fertiliser la terre.

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      [ARTICLE 1112 DU CODEX: HALOS]

      Description que fit Ézéchiel de l’ange descendant de son char volant deux ans plus tôt, en 593 av. J.-C : « Il y avait un halo lumineux tout autour de son visage, comme un arc en ciel brillant dans les nuages un jour de pluie. » Les observateurs qui devaient marcher parmi les humains gardaient généralement leur visière levée pour les protéger des infections. Le rapprochement avec les anges s’est étendu à toute l’iconographie religieuse.

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      [ARTICLE 1521 DU CODEX:  DONNER LA SEMENCE AU MOLOCH]

      Les rites de fertilité de Baal comprenaient l’offrande de semence. Des vierges, les kadeshem, dansaient au son de rythmes musicaux, protégées par les gardiens du temple. Aucun fidèle ne pouvait les toucher. De jeunes garçons, les kadesh, portaient des coupes en bronze remplies de lait et de jaune d’œufs, ce qui permettait de garder le sperme à température ambiante. Quant au miel, il servait à conserver le lait. C’est la raison pour laquelle Yahweh parlait péjorativement de Canaan comme du « pays du lait et du miel ». L’abstinence, la viande, et un jour de repos, permettaient de produire une plus grande quantité de cellules souches, appelées spermatogonies, pour le dimanche. Ces cellules souches sont uniques, autorenouvelables et pluripotentes. Ce sont les cellules germinales éternelles présentes de la naissance à la mort.

      [ARTICLE 1522 DU CODEX: SACRIFIER L’ENFANT PAR LE FEU]

      Le premier-né de sexe masculin de chaque famille était, d’après la loi, la propriété des Dieux. Si les parents et l’enfant étaient en bonne santé et vigoureux, l’enfant pouvait être sacrifié huit à douze jours après la naissance, le temple faisant un cadeau aux parents. Ceux qui n’étaient pas choisis pour le sacrifice devaient travailler à vie pour le temple. Les cris de l’enfant qui mourrait étaient couverts par des cymbales entrechoquées et des cornes dans lesquelles on soufflait. Une fois qu’on avait donné le sang au dieu en offrande, on brûlait le corps dans un four sacrificiel en bronze.

       

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